Avec nos vies à 100 à l'heure, on ne prend pas forcément le temps de se poser, de prendre un livre et se plonger dedans pour n'en ressortir que quelques heures plus tard. Mais en cette belle période de quarantaine, nous avons tout le temps qu'il nous faut pour se mettre à la lecture et découvrir de vraies pépites littéraires. Pour vous partager les bons plans lectures, j'ai fait appel à une des amies proches : Barbara Schoumacher. Si vous êtes intéressés par ce genre de contenu, n'hésitez pas à aller faire un petit tour sur son compte Instagram. Elle y poste régulièrement des reviews de ses lectures et vous conseille comme une pro sur les bouquins à ne pas manquer ! C'est parti pour un tour de ses coup de coeurs !
C’est Camila Läckberg qui m’a donné le goût des thrillers nordiques. J’ai lu tous ses livres et j’ai à chaque fois été impressionnée par la manière dont elle ficelait ses récits. En effet, il est presqu’impossible de deviner qui est la personne coupable des crimes morbides que Camila arrive toujours tellement bien à mettre en scène ! Highly recommended si vous aimez les thrillers très dark.
Le pitch : « Erica Falck, trente-cinq ans, auteure de biographies installée dans une petite ville paisible de la côte ouest suédoise, découvre le cadavre aux poignets tailladés d'une amie d'enfance, Alexandra Wijkner, nue dans une baignoire d'eau gelée. Impliquée malgré elle dans l'enquête (à moins qu'une certaine tendance naturelle à fouiller la vie des autres ne soit ici à l'œuvre), Erica se convainc très vite qu'il ne s'agit pas d'un suicide. Sur ce point - et sur beaucoup d'autres -, l'inspecteur Patrik Hedström, la rejoint.
J’ai dévoré ce Moriarty en une journée. Moriarty a réussi à tisser d’une manière exceptionnelle des portraits de femmes attachantes, combattives et profondément humaines. Voulant toujours en savoir plus sur la vie remplie de secrets de ces femmes et leurs familles, je n’ai réellement pas réussi à lâcher ce roman d’une semelle.
Le pitch : « Jamais Cecilia n'aurait dû lire cette lettre trouvée par hasard dans le grenier. Sur l'enveloppe jaunie, quelques mots de la main de son mari : « À n'ouvrir qu'après ma mort ». La curiosité est trop forte, elle l'ouvre et le temps s'arrête... À la fois folle de colère et dévastée par ce qu’elle vient d'apprendre, Cecilia ne sait que faire : si elle se tait, la vérité va la ronger, si elle parle, ceux qu’elle aime souffriront. »
Abel réussit toujours, et ce dans tous ses livres (que je vous recommande tous sans exception), à installer une ambiance malsaine qui met le lecteur franchement mal à l’aise et c’est ce talent que j’affectionne tout particulièrement chez cette auteure belge ! Derrière la haine
Le pitch : « D'un côté il y a Tiphaine et Sylvain, de l'autre il y a Laetitia et David.
Deux couples, voisins et amis, fusionnels et solidaires, partageant le bonheur d'avoir chacun un petit garçon du même âge. Maxime et Milo grandissent ensemble, comme des jumeaux. Jusqu'au drame. Désormais, seule une haie sépare la culpabilité de la vengeance, la paranoïa de la haine...
Bien que l’histoire soit un peu cucul la praline, j’ai adoré ce livre qui mêle l’histoire de deux femmes différentes au cœur brisé, vivant à des époques différentes. Je me suis rapidement attachée à la personnage principale et j’ai même plusieurs fois lâché une larmichette. Il m’a été impossible de ne pas lire dès que j’avais un peu le temps car on a toujours envie d’en apprendre plus. Bref, si vous aimez les histoires à l’eau de rose (mais bien ficelées), je vous recommande vivement ce roman !
Le pitch : « Tina est malheureuse auprès d'un mari trop porté sur la boisson et souvent violent. Le week-end, pour ne pas être à ses côtés, elle se réfugie dans une boutique caritative où elle est vendeuse bénévole. C’est alors que sa vie bascule lorsqu'elle y découvre une lettre dans la poche d'un vieux costume. Cette lettre n'a jamais été ouverte, le timbre n’est pas cacheté et elle date de septembre 1939 : c'est une demande en mariage… ».
C’est lyrique, c’est beau, c’est émouvant. J’ai beaucoup ri toute seule comme une débile devant mon livre, mais j’ai également eu quelques fois le cœur brisé. Bref, c’est une magnifique histoire qui est remplie de rebondissements. Le style de Ruiz Zafon est incroyabe d’ailleurs, j’ai pris tellement de plaisir à lire ce bouquin !
Le pitch : « Dans la Barcelone de l'après-guerre civile, " ville des Prodiges " marquée par la défaite, la vie est difficile, les haines rôdent toujours. Par un matin brumeux de 1945, un homme emmène son petit garçon – Daniel Sempere, le narrateur – dans un lieu mystérieux du quartier Gothique : le Cimetière des livres oubliés. L'enfant, qui rêve toujours de sa mère morte, est ainsi convié par son père, modeste boutiquier de livres d'occasion, à un étrange rituel qui se transmet de génération en génération : il doit y " adopter " un volume parmi des centaines de milliers. Là, il rencontre le livre qui va changer le cours de sa vie, le marquer à jamais et l'entraîner dans un labyrinthe d'aventures et de secrets " enterrés dans l'âme de la ville " : L'Ombre du vent. »
N’ayant pas aimé le premier que j’ai lu de Lugand (Entre mes mains le bonheur se faufile), j’ai commencé ce livre avec un peu d’appréhension. Finalement, je l’ai lu en deux jours tellement que je l’ai adoré ! Les personnages sont trop attachants, le style de Lugand est vraiment agréable à lire et l’histoire est légère, mimi et mega feel good. On est d’office de bonne humeur après avoir lu ce bouquin !
Le pitch : « Yaël ne vit que pour son travail. Brillante interprète pour une agence de renom, elle enchaîne les réunions et les dîners d'affaires sans jamais se laisser le temps de respirer. Les vacances, très peu pour elle, l'adrénaline est son moteur. Juchée sur ses éternels escarpins, elle est crainte de ses collègues, et ne voit quasiment jamais sa famille et ses amis qui s'inquiètent de son attitude. Peu lui importe les reproches qu'on lui adresse, elle a simplement l'impression d'avoir fait un autre choix, animée d'une volonté farouche de réussir. Mais le monde qu'elle s'est créé pourrait vaciller face aux fantômes du passé. »
Vous voyez le genre de thrillers qui vous font un peu frémir dans votre lit une fois que vous ayez terminé un de ses chapitres ? Bah celui-ci en fait, à mes yeux, partie. J’ai été tenue en haleine jusqu’à la fin du récit et je me suis attachée aux différents personnages, tous émouvants à leur façon. Si vous cherchez un thriller dont le récit est bien construit, celui-ci doit définitivement être le prochain sur votre liste !
Le pitch : « Deux jeunes gens sont enlevés et séquestrés au fond d'une piscine vide dont il est impossible de s'échapper. À côté d'eux, un pistolet chargé d'une unique balle et un téléphone portable avec suffisamment de batterie pour délivrer un terrible message: "Vous devez tuer pour vivre." Les jours passent, la faim et la soif s'intensifient, l'angoisse monte. Jusqu'à l'issue fatale. Les enlèvements se répètent. .Helen Grace, le commandant responsable de l’enquête, connaît les côtés sombres de la nature humaine, y compris la sienne; pourtant, cette affaire et ces victimes apparemment sans lien entre elles la laissent perplexe. »
Je suis tout à fait fan de Bernard Minier et de ses thrillers. Cet auteur français arrive, avec son style d'écriture, à captiver son lecteur d’une manière exceptionnelle sans temps mort. En effet, une action en entraine une autre et on ne s’ennuie (et ne devine) franchement jamais !
Le pitch : « Dans une vallée encaissée des Pyrénées, au petit matin d'une journée glaciale de décembre, les ouvriers d'une centrale hydroélectrique découvrent le corps sans tête d'un cheval, accroché à la falaise. Ce même jour une jeune psychologue prend son premier poste dans le centre psychiatrique de haute sécurité qui surplombe la vallée. Le commandant Servaz, flic hypocondriaque et intuitif, se voit confier l'enquête la plus étrange de toute sa carrière. »
Encore un livre que j’ai lu en deux jours. Ce récit est frais, vivant et touchant. On ne se prend pas la tête, on rigole et on pleure. Bref, encore un autre bouquin pour vous mettre de bonne humeur et vous faire sourire tout le long !
Le pitch : « Anna, 37 ans, croule sous le travail et les relances des huissiers.
Ses filles, elle ne fait que les croiser au petit déjeuner. Sa vie défile, et elle l’observe depuis la bulle dans laquelle elle s’est enfermée. À 17 ans, Chloé a des rêves plein la tête mais a choisi d’y renoncer pour aider sa mère. Elle cherche de l’affection auprès des garçons, mais cela ne dure jamais. Comme le carrosse de Cendrillon, ils se transforment après l’amour.
Lily, du haut de ses 12 ans, n’aime pas trop les gens. Elle préfère son rat, à qui elle a donné le nom de son père, parce qu’il a quitté le navire. Le jour où elle apprend que ses filles vont mal, Anna prend une décision folle : elle les embarque pour un périple en camping-car, direction la Scandinavie. Si on ne peut revenir en arrière, on peut choisir un autre chemin. »
Michel Bussi est un auteur dont j’ai presque dévoré tous les livres. Petite préférence pour celui-ci car Bussi alterne le présent et le passé, ce qui donne un style tout à fait particulier au récit. En multipliant les fausses pistes, l’auteur essaye de nous faire croire à des choses qui s’avèrent, au final, ne pas être vraies. Un vrai pageturner qu’on ne lâchera pas avant de réellement connaitre la fin (la vraie) !
Le pitch : « Eté 1989. La Corse, presqu'île de la Revellata, entre mer et montagne. Une route en corniche, un ravin de vingt mètres, une voiture qui roule trop vite... et bascule dans le vide. Une seule survivante : Clotilde, quinze ans. Ses parents et son frère sont morts sous ses yeux. Eté 2016. Clotilde revient pour la première fois sur les lieux de l'accident, avec son mari et sa fille ado, en vacances, pour exorciser le passé. A l'endroit même où elle a passé son dernier été avec ses parents, elle reçoit une lettre. Une lettre signée de sa mère. Vivante ? »
Découvrez mon article et les 12 choses utiles à faire durant la quarantaine.
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Commentaires
Je ne sais pas si tu as lu les autres ouvrages de Virginie Grimaldi, mais je te les conseille. Des récits plein d’amour, de joie, de réalité qui font rire et pleurer! Mon préféré reste « Tu comprendras quand tu seras plus grande » mais « le parfum du bonheur est plus fort sous’d la pluie » et
Je suis justement en train de lire « L’ombre du vent » de Carlos Ruiz Zafon. J’accroche bien mais je n’ai pas encore le coup de coeur. Je suis toutefois impatiente de connaître la suite…
Hello, super idée de lecture, pour Bussi, on m’avait offert: les nymphéas noirs que j’ai dévoré, j’en ai lu deux de ta liste , c’est maintenant l’occasion de se poser et de se plonger dans des beaux moments lectures.Merci pour tes propositions.